24 mai 2009
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Mercredi 20 mai, audience sur la présence ou non de sacs de dérivés chlorés dans le hangar 335 (dit "demi-grand") le 21 septembre 2001 ou les jours précédents... Difficile de se faire une opinion tranchée !
D'abord Mr Robert Noray, qui était technicien aux services généraux techniques en 2001, garant du respect des consignes stipulées dans les contarts des sociétés d'entretien (TMG, SURCA, Nodin, ...), et émanant du cahier des charges, concernant l'entretien et l'hygiène (gaines de clim).
Il était en relation avec Mr Fauré (SURCA), qui s'occupait du bâtiment 335, mis à la disposition de SURCA. Le "marché" de la collecte et du tri a évolué dans le temps, Le "mélen" (résidus de la mélamine, toxiques et pulvérulents) "ne pouvait plus partir en décharge" (parfois, la loi s'occupe de ne pas trop polluer) et était donc stocké dans le 335, comme beaucoup de choses (amiantes, chiffons gras, verre), en attente de tri et de départ soit en recyclage soit en déchetteries spécialisées.
Il y avait aussi les sacs usagés vides et les Big bags (GRVS) vides qui attendaient l'entreprise de récupération. Là, on atteint à nouveau les limites mémorielles des ex-employés AZF :
- Les sacs n'étaient pas toujours totalement vides, mais entre les premières auditions de Mr Noray et aujourd'hui, ils pouvaient contenir de 100 à 250 kg de produits, puis maintenant seulempent 10 à 20 kg...
- L'autorisation de déposer des sacs provenant des ateliers de dérivés chlorés (ACD) a "dû" être donnée par oral, "certainement" par Mr Ledoussal (responsable environnement mort dans l'explosion), directempent à SURCA, ou par un autre biais, mais "je ne suis pas au courant". "Il y avait une réunion prévue en août 2001, j'étais en congé, mais la réunion ne s'est pas tenue"...
(clair, non ?)
S'ensuit un ping-pong avec les avocats de la partie civile qui s'étonnent de ses contradictions entre les divers auditions, du fait que les nouvelles missions de Mr Fauré (sacs ACD) n'aient pas donné lieu à nouveau contrat ou avenant avec SURCA, que peu de "fiches d'anomalies" pour constatation de sacs pas vidés... Réponses évasives, je n'était pas concerné, c'est Mr Ledoussal, le hangar était propre.
Comme à son habitude, Me Courrégé, pour la défense, vient rajouter des réponses sur le fonctionnement de l'usine, le fait que Mr Fauré n'aimait pas trouver des sacs pas assez vides et grondait les chefs d'atelier, que c'était le service environnement qui gérait les contrats, etc. Puis "Qu'avez-vous vécu le matin du 21 septembre 2001 ?" :
Mr Noray a eu l'impression d'être soulevé du sol par la première explosion (mais ce n'était pas un mouvement de terrain, il a vérifié l'état du carrelage plus tard) et projeté à 3 m, puis a reçu les débris qui tombent en apocalypse à cause de la seconde explosion. Courrégé rajoute que Mr Noray a eut 18 mois d'arrêt de travail, dont une garde à vue... Ce dernier affirme enfin que si les enquêteurs étaient venus avant l'explosion ils n'auraient jamais dit que l'usine était une poubelle.
P.S. : Mr Noray ignorait que DCCNa + NA pouvait provoquer une explosion, tout comme certainement Mr Fauré, et s'il a répondu sur la présence d'un sac de DCCNa dans le 335, c'est qu'il croyait les policiers.
Suivent deux employés et le directeur de Forinserplast, qui récoltaient les sacs et GRVS vides pour les amener à recycler.
Certains sacs n'étaient pas complètement vides, mais surtout, parfois, les GRVS étaient quasi-indéplaçables tellement restait du produit. L'un des employés a reconnu l'odeur de chlore qui, parfois, les obligeait à sortir du bâtiment pour reprendre leur respiration. Il a reconnu les GRVS de dérivés chlorés comme présents lors des récupérations, ainsi que le type de ces mêmes sacs (ATCC) qu'il lui est arrivé de recupérer pour lui-même pour ramasser les déchets verts.
Ce qui a permis à Soulez-Larivière de crier (pour que cela soit noté) : "lorsque c'est dans le 335 ça sent fort, quand ça en sort, ça ne sent plus) ... Alors que l'employé venait de répondre à Courrégé que les techniciens de la reconstitution lui avaient bien dit que les sacs étaient lavés et rincés trois fois...
Me Bonnard a également tenté d'ennuyer ce témoin en signalant qu'il avait quitté Forinserplast, mais il lui a répondu "en bons termes et pour un travail (paysagiste) qui me rapprochait de chez moi".
Me Stella Bisseuil fait de l'ironie en rappelant que tactique a été écrite un jour par un cadre de GP de ne pas se souvenir lorsqu'une question est génante, puis l'attaque reprend sur le fait que 3 inventaires ont eu lieu dans le 335, apparement sans que l'on sache vraiment pourquoi, que le dernier voyage de Mr Fauré au 221 semble important mais que l'on "évite" d'analyser sa benne avant qu'elle ne se volatilise, que ce dernier n'est même pas réinterrogé sur place à propos des sacs qu'il pouvait avoir vus ou non... Motte ne peut toujours pas répondre lorsque Soulez Larivière s'emporte après l'inspection du travail, le CHSCT, la PJ, et à présent les parties civiles qui s'acharnent sur la CEIGP... "Vous verrez, toutes les commissions d'enquêtes internes, qui font du bon travail, vont finir par s'auto-dissoudre..." Brouhaha de tous les avocats, le tribunal se retire puis revient 5 mn après, sermonnant les avocats, non mais !
L'audience reprend, Motte toujours à côté (ne se souvient pas de documents qu'il a anotés tout en reconnaissant son écriture). Il a repris un peu de poil de la bête et accuse les parties civiles de faire des amalgames en joignant plusieurs moments de l'enquête qui n'ont rien à voir, ... De telle façon qu'à la question de Me Léguevaques "Vous avez dit que la CEIGP n'était pas là pour aider la police mais pour la manifestation de la vérité, est-ce antagoniste ?" Il répond du tac au tac "nous étions là pour trouver la cause de l'explosion".
Me Topaloff donne le coup de pied de l'âne au responsable sécurité Motte lorsqu'elle lui demande si "tout était parfait", comme il le dit, alors que des déchets du 335 étaient amenés au 221 qui contenait des stocks destinés à la production. Vous constatez qu'une automobile roule dans le mauvais sens, et déclarez que tout est parfait ! Difficile de répondre...
Monferrand (Défense) vient à la rescousse de Motte : "Vous êtes venu en 2001 cacher des indices, en septembre 2002 la police vous interroge, en mai 2006 elle vous met en garde à vue puis vous bénéficiez d'un non-lieu. Le problème, on vous reproche l'existence de la CEIGP, mais ensuite on vous dit : "Vous avez dit à la commission d'enquête !" Contradiction... Soulez Larivière en rajoute en rappelant les conditions de détention de Mr Motte. "Si on accuse la CEIGP de tous les maux, il n'y aura plus de CEI dans les usines Seveso !"
(Et si l'on supprimait plutôt directement les usines seveso ?)
Interviens ensuite Mr Mandrou, cariste à AZF, qui ne se souviens plus la date à laquelle il a fait l'inventaire de 335 (le 24/09 ou le 01/10/2001) ni ce qu'il y a trouvé...
Puis vient Mr Chantal, chef d'équipe expédition et ensachage dans le bâtiment IO (NA)
Après un signe amical du côté de la défense, il semble aussi confus que ses ex-confrères. Les auditions que lui ont fait signer les policiers sont truffées d'erreurs (pour l'une, il dit n'avoir relu qu'en diagonale les 24 pages alors qu'elle n'en faisait que 3), et, pour la première fois depuis 2001, lorsqu'il a fait le premier inventaire des sacs du 335, parle de sacs à logo jaune au lieu des sacs provenant de l'atelier des dérivés chlorés (ou carrément de sacs de dérivés chlorés à certaines auditions) ! Il ne se rappelle pas de grand chose, dit qu'à l'époque des auditions il croyait qu'on l'interrogeait sur le bâtiment IO, ce qui fait demander la procureure : "les auditions (3) étaient-elles faites en français ?"
Mr Chantal n'a jamais plus eu à faire avec quiconque de Grande Paroisse dès après sa première audition, ce qui ne laisse pas d'étonner le procureur qui en reparlera. Il a même du mal à répondre aux avocates de la défense tellement il ne se souvient de rien.
Sauf de l'épaisseur de la croûte du 221 : 50 cm (à l'œil), répond-il au président.
Qui doit-on croire ? Que doit-on croire ? Où étaient les sacs de DCCNa le 21/09/01 ? Que sont ces mystérieux sacs à logo jaune ? Le saura-t-on un jour ?
Pascal
D'abord Mr Robert Noray, qui était technicien aux services généraux techniques en 2001, garant du respect des consignes stipulées dans les contarts des sociétés d'entretien (TMG, SURCA, Nodin, ...), et émanant du cahier des charges, concernant l'entretien et l'hygiène (gaines de clim).
Il était en relation avec Mr Fauré (SURCA), qui s'occupait du bâtiment 335, mis à la disposition de SURCA. Le "marché" de la collecte et du tri a évolué dans le temps, Le "mélen" (résidus de la mélamine, toxiques et pulvérulents) "ne pouvait plus partir en décharge" (parfois, la loi s'occupe de ne pas trop polluer) et était donc stocké dans le 335, comme beaucoup de choses (amiantes, chiffons gras, verre), en attente de tri et de départ soit en recyclage soit en déchetteries spécialisées.
Il y avait aussi les sacs usagés vides et les Big bags (GRVS) vides qui attendaient l'entreprise de récupération. Là, on atteint à nouveau les limites mémorielles des ex-employés AZF :
- Les sacs n'étaient pas toujours totalement vides, mais entre les premières auditions de Mr Noray et aujourd'hui, ils pouvaient contenir de 100 à 250 kg de produits, puis maintenant seulempent 10 à 20 kg...
- L'autorisation de déposer des sacs provenant des ateliers de dérivés chlorés (ACD) a "dû" être donnée par oral, "certainement" par Mr Ledoussal (responsable environnement mort dans l'explosion), directempent à SURCA, ou par un autre biais, mais "je ne suis pas au courant". "Il y avait une réunion prévue en août 2001, j'étais en congé, mais la réunion ne s'est pas tenue"...
(clair, non ?)
S'ensuit un ping-pong avec les avocats de la partie civile qui s'étonnent de ses contradictions entre les divers auditions, du fait que les nouvelles missions de Mr Fauré (sacs ACD) n'aient pas donné lieu à nouveau contrat ou avenant avec SURCA, que peu de "fiches d'anomalies" pour constatation de sacs pas vidés... Réponses évasives, je n'était pas concerné, c'est Mr Ledoussal, le hangar était propre.
Comme à son habitude, Me Courrégé, pour la défense, vient rajouter des réponses sur le fonctionnement de l'usine, le fait que Mr Fauré n'aimait pas trouver des sacs pas assez vides et grondait les chefs d'atelier, que c'était le service environnement qui gérait les contrats, etc. Puis "Qu'avez-vous vécu le matin du 21 septembre 2001 ?" :
Mr Noray a eu l'impression d'être soulevé du sol par la première explosion (mais ce n'était pas un mouvement de terrain, il a vérifié l'état du carrelage plus tard) et projeté à 3 m, puis a reçu les débris qui tombent en apocalypse à cause de la seconde explosion. Courrégé rajoute que Mr Noray a eut 18 mois d'arrêt de travail, dont une garde à vue... Ce dernier affirme enfin que si les enquêteurs étaient venus avant l'explosion ils n'auraient jamais dit que l'usine était une poubelle.
P.S. : Mr Noray ignorait que DCCNa + NA pouvait provoquer une explosion, tout comme certainement Mr Fauré, et s'il a répondu sur la présence d'un sac de DCCNa dans le 335, c'est qu'il croyait les policiers.
Suivent deux employés et le directeur de Forinserplast, qui récoltaient les sacs et GRVS vides pour les amener à recycler.
Certains sacs n'étaient pas complètement vides, mais surtout, parfois, les GRVS étaient quasi-indéplaçables tellement restait du produit. L'un des employés a reconnu l'odeur de chlore qui, parfois, les obligeait à sortir du bâtiment pour reprendre leur respiration. Il a reconnu les GRVS de dérivés chlorés comme présents lors des récupérations, ainsi que le type de ces mêmes sacs (ATCC) qu'il lui est arrivé de recupérer pour lui-même pour ramasser les déchets verts.
Ce qui a permis à Soulez-Larivière de crier (pour que cela soit noté) : "lorsque c'est dans le 335 ça sent fort, quand ça en sort, ça ne sent plus) ... Alors que l'employé venait de répondre à Courrégé que les techniciens de la reconstitution lui avaient bien dit que les sacs étaient lavés et rincés trois fois...
Me Bonnard a également tenté d'ennuyer ce témoin en signalant qu'il avait quitté Forinserplast, mais il lui a répondu "en bons termes et pour un travail (paysagiste) qui me rapprochait de chez moi".
La saga du sac
La Commission d'enquête interne de Grande Paroisse est de nouveau sur le gril cet après-midi.
D'abord, Mr Motte, qui est à l'origine de la découverte du sac de DCCNa, ne souvient plus très bien de tout, et en particulier des circonstances de cette découverte à laquelle il a participé, du nombre de sacs découverts, de qui, de lui ou de Mr Domenech qui l'accompagnait a pris la photo du sac, qui a prélevé le produit restant dans le sac, si c'est en le vidant ou en fouillant de dans, pour le mettre dans quel type de récipient, ni même de qui a procédé avec lui à l'audition de Mr Fauré le dimanche 23/09 après-midi, et encore moins de la raison pour laquelle Mr Fauré a été entendu... Lorsque ce Monsieur, retraité d'Atofina (mission sécurité), arrivé le premier avec Desmarrest sur les lieux le 21 après-midi, se targue d'être intervenant à l'ICSI (Institut pour une culture de la sécurité industrielle*), on peut se questionner sur ce qu'il a à raconter à ses auditeurs... Surtout lorsqu'il rajoute que le sac ne sentait pas le chlore... Par contre un éclair de mémoire lui permet de préciser au président la date (27 novembre) à laquelle les policiers ont découvert 1 sac de DCCNa.Me Stella Bisseuil fait de l'ironie en rappelant que tactique a été écrite un jour par un cadre de GP de ne pas se souvenir lorsqu'une question est génante, puis l'attaque reprend sur le fait que 3 inventaires ont eu lieu dans le 335, apparement sans que l'on sache vraiment pourquoi, que le dernier voyage de Mr Fauré au 221 semble important mais que l'on "évite" d'analyser sa benne avant qu'elle ne se volatilise, que ce dernier n'est même pas réinterrogé sur place à propos des sacs qu'il pouvait avoir vus ou non... Motte ne peut toujours pas répondre lorsque Soulez Larivière s'emporte après l'inspection du travail, le CHSCT, la PJ, et à présent les parties civiles qui s'acharnent sur la CEIGP... "Vous verrez, toutes les commissions d'enquêtes internes, qui font du bon travail, vont finir par s'auto-dissoudre..." Brouhaha de tous les avocats, le tribunal se retire puis revient 5 mn après, sermonnant les avocats, non mais !
L'audience reprend, Motte toujours à côté (ne se souvient pas de documents qu'il a anotés tout en reconnaissant son écriture). Il a repris un peu de poil de la bête et accuse les parties civiles de faire des amalgames en joignant plusieurs moments de l'enquête qui n'ont rien à voir, ... De telle façon qu'à la question de Me Léguevaques "Vous avez dit que la CEIGP n'était pas là pour aider la police mais pour la manifestation de la vérité, est-ce antagoniste ?" Il répond du tac au tac "nous étions là pour trouver la cause de l'explosion".
Me Topaloff donne le coup de pied de l'âne au responsable sécurité Motte lorsqu'elle lui demande si "tout était parfait", comme il le dit, alors que des déchets du 335 étaient amenés au 221 qui contenait des stocks destinés à la production. Vous constatez qu'une automobile roule dans le mauvais sens, et déclarez que tout est parfait ! Difficile de répondre...
Monferrand (Défense) vient à la rescousse de Motte : "Vous êtes venu en 2001 cacher des indices, en septembre 2002 la police vous interroge, en mai 2006 elle vous met en garde à vue puis vous bénéficiez d'un non-lieu. Le problème, on vous reproche l'existence de la CEIGP, mais ensuite on vous dit : "Vous avez dit à la commission d'enquête !" Contradiction... Soulez Larivière en rajoute en rappelant les conditions de détention de Mr Motte. "Si on accuse la CEIGP de tous les maux, il n'y aura plus de CEI dans les usines Seveso !"
(Et si l'on supprimait plutôt directement les usines seveso ?)
Interviens ensuite Mr Mandrou, cariste à AZF, qui ne se souviens plus la date à laquelle il a fait l'inventaire de 335 (le 24/09 ou le 01/10/2001) ni ce qu'il y a trouvé...
Puis vient Mr Chantal, chef d'équipe expédition et ensachage dans le bâtiment IO (NA)
Après un signe amical du côté de la défense, il semble aussi confus que ses ex-confrères. Les auditions que lui ont fait signer les policiers sont truffées d'erreurs (pour l'une, il dit n'avoir relu qu'en diagonale les 24 pages alors qu'elle n'en faisait que 3), et, pour la première fois depuis 2001, lorsqu'il a fait le premier inventaire des sacs du 335, parle de sacs à logo jaune au lieu des sacs provenant de l'atelier des dérivés chlorés (ou carrément de sacs de dérivés chlorés à certaines auditions) ! Il ne se rappelle pas de grand chose, dit qu'à l'époque des auditions il croyait qu'on l'interrogeait sur le bâtiment IO, ce qui fait demander la procureure : "les auditions (3) étaient-elles faites en français ?"
Mr Chantal n'a jamais plus eu à faire avec quiconque de Grande Paroisse dès après sa première audition, ce qui ne laisse pas d'étonner le procureur qui en reparlera. Il a même du mal à répondre aux avocates de la défense tellement il ne se souvient de rien.
Sauf de l'épaisseur de la croûte du 221 : 50 cm (à l'œil), répond-il au président.
Qui doit-on croire ? Que doit-on croire ? Où étaient les sacs de DCCNa le 21/09/01 ? Que sont ces mystérieux sacs à logo jaune ? Le saura-t-on un jour ?
Pascal
* http://www.icsi-eu.org/ Institut créé à l'initiative de sociologues toulousains qui ont fait semblant de participer aux débats et combats qui ont suivi le 21 septembre, et dont l'objectif est de mettre en place les conditions de l'acceptation des risques industriels par la population, en particulier les riverains. Gaffe aux prochaines promotions d'élèves qui sortiront de là pour conseiller entreprises et politiques.